mardi 23 février 2016

Il était une fois par Mathys

L’île magique
Il y a très longtemps vivait un prince nommé Richard, il était riche. Un jour, un soldat trouva une carte où était écrit : « Ici tu trouveras une femme magique et un trésor ».
Le prince et soldat se rendirent sur « L’île magique » en bateau. Ils rencontrèrent un loup. Le prince et son soldat lui demandèrent s’il connaissait cette femme magique. Le loup leur dit qu’il la connaissait. Le loup conduisit les deux compères jusqu’à une maison. Une fois arrivés à destination, le prince et le soldat remercièrent leur guide de les avoir accompagnés, puis ils s’en allèrent trouver la fée, qui était à l’étage.
La fée était vêtue d’une robe bleue, avec des paillettes qui scintillaient. C’était une grande fille, avec de longs cheveux blonds. Devant elle se tenait un pupitre, sur lequel reposait un grimoire. Cette fée aimait les énigmes. D’ailleurs, elle en posait souvent à ses visiteurs.
Après l’avoir saluée, le prince et son compagnon lui demandèrent si elle pouvait les aider. Elle accepta. Le prince prit la parole et lui montra la carte qu’avait trouvée le soldat. La fée, qui avait compris qu’elle était la personne qu’ils recherchaient, leur confia qu’elle était bien la « femme magique ».
Le lendemain matin, tous trois partirent, ensemble, à l’aventure, à la recherche du « trésor ». Ils se ravitaillèrent, pour ne pas tomber de faim. Puis les deux hommes se séparèrent, pour chercher le butin chacun de leur côté. La fée, elle, resta veilla le feu de camp, qui avait été allumé la nuit précédente.
Le prince rencontra de multiples pièges sur son chemin, mais vu qu’il était très rusé, il les évita, tandis que le soldat, qui n’était pas rusé, resta coincé dans un piège, la tête en bas. Pendant que le soldat essayait de se libérer, le prince trouva le trésor. Il revint vers la fée et lui dit qu’il avait trouvé le trésor, mais qu’il n’avait pas vu son soldat. Le prince décida de retourner le chercher ; il finit par le trouver, étranglé par une corde.
La mort tragique du soupirant leur permis enfin de se marier, et ils eurent beaucoup d’enfants.
Mathys TRENTIN


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