Perdus de vue
de Yaël Hassan et Rachel Hausfater, Flammarion jeunesse, février 2016, 151 pages, récit de vie, dès 11 ans (et même avant ou après)
Chacune des auteurs a écrit du point de vue d'un des personnages. On retrouve plusieurs des thèmes chers aux auteurs : le souvenir de la déportation des juifs, la réparation des relations brisées.
On croise Chagall au Musée biblique, Stromae.
Ce roman est sympathique et optimiste, l'alternance des points de vue relance l'intérêt, les dialogues sonnent assez justes même si le roman n'échappe pas à quelques clichés.
Bonne lecture pour ces jours de pluie !
La quatrième de couverture (résumé du début et extrait)
Après lecture :
Evidemment, le titre est un jeu de mots entre "perdre la vue" (devenir aveugle) et "perdre de vue" (cesser une relation).
Le tableau dans lequel se reconnaît Sofiane est visible ici :
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