Un petIt cuIcuI épIe jour et nuIt
un lombrIc malIcIeux quI luI glIsse IrrésIstIblement entre les grIffes. S’Il
enfIle son bIstourI aIguIsé dans le conduIt rétrécI, l’habIle ennemI se faufIle
dans son abrI et surgIt ImprévIsIble pIle derrIère luI. CuI CuI rIsque le tortIcolIs,
frIse l’InsomnIe : s’Il IntensIfIe son cIrcuIt, ce salsIfI (aInsI Il l’InjurIe)
s’enfouIt. S’Il l’assourdIt de Touït Touït, Il s’évanouIt.
Toute la nuIt, CuI
CuI réfléchIt. A mInuIt surgIt une IdIotIe quI le réjouIt. C’en est fInI de son
ennemI, le lundI Il agIt : Il aspIre puIs enfIle son bIstourI effIlé et sIffle.
CuI CuI IntensIfIe son charIvarI,
Il aspIre, rIsque l’asphyxIe, Il utIlIse une énergIe InfInIe, Il vIre au cramoIsI.
PuIs l’Inouï se produIt : l’ennemI grandIt, le voIcI radIs, Il se ramIfIe,
Il s’épanouIt, Il s’étIre, Il IrradIe, le voIcI galaxIe ! Cette Issue crucIfIe
CuI CuI, Il s’enfuIt de peur d’être réduIt en bouIllIe.
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